“He no longer saw the face of his friend Siddhartha, instead he saw other faces, many, a long sequence, a flowing river of faces, of hundreds, of thousands, which all came and disappeared, and yet all seemed to be there simultaneously (…) and which were still all Siddhartha.” Herman HESSE
The “Sur-faces” series, signed Rose Cellequirit / Rose Slavy, explores the notion of simultaneous and multiple being through a gallery of portraits, produced by superposition of views of my face and those of my loved ones. Their mise en abyme is double: firstly, by stacking of interlocked figurative layers, secondly, through the process of a multiple transposition of one medium to another (photography / print / drawing). Neither photographs, nor drawings, nor engravings, nor objects, but all at the same time, the series questions certainties – the one of the portrait as a bearer of a unique identity – the one of the subject independent of others – the one of beauty without a trace of monstrosity, and finally, te one of appearance separated from the interiority of being.
Sur-faces
“Le visage de son ami Siddhartha disparut; mais à sa place il vit d’autres visages, des centaines, des milliers; ils passaient comme les ondes d’un fleuve, s’évanouissaient, réapparaissaient tous en même temps, se modifiaient, se renouvelaient sans cesse et tous ces visages étaient pourtant Siddhartha.” Herman HESSE
La série “Sur-faces”, signé Rose Cellequirit / Rose Slavy, explore la notion de l’être simultané et multiple à travers une galerie de portraits produits par la superposition des vues de mon visage et celles de mes proches. La mise en abîme est double: d’abord, grâce à l’empilement des strates figuratives, et d’autre part, à travers le processus d’une multiple transposition d’un médium à un autre (photographie / impression / dessin ). Ni photographies, ni dessins, ni gravures, ni objets, mais tout à la fois, la série questionne les certitudes – celle du portrait comme porteur d’une identité unique – celle du sujet indépendant des autres – celle de la beauté dénuée de la monstruosité, et enfin, celle de l’apparence coupée de l’intérieur de l’être.